SALON DU LIVRE 2012 (2e partie)
Revenons quelques instants sur la rencontre. Dans l’entrée du salon, Laurent et Jean ont fait connaissance. Lauréats du concours et publiés dans « La dernière vague », ils nous font le plaisir de leur présence.
Eve nous rejoint. Pierre-Jean également. Lui aussi est publié dans « La dernière vague », et enrichit régulièrement le site de ses écrits.
Yoxigen ! Le mystérieux fauve caché derrière cette tête de « ouf » à faire peur ! Un méchant, si, si, Yoxigen insiste. Son sourire le trahit, mince, même plus peur !
Nous sommes près de la sortie fumeur, il faut bien gérer le stress des accros aux volutes de fumée. Léo va et vient, son pansement trahissant le réveil difficile. Je ne sais pas si Jack a sa part de culpabilité, mais la lame crissant du rasoir a eu raison de lui. Ca ne gâche en rien son sourire, à notre Léo favori !
Tout de même, c’est la fête de se voir, mais il manque tant de visages encore. On a une pensée pour les absents, celles et ceux qui auraient aimé venir, et qu’on aurait aimé voir. Pas de noms, chacun s’y reconnaîtra, mais oui, on a parlé de vous !
Certains, certaines ont suivi de loin nos pérégrinations dans les allées du salon. Les ipodocus modernes ont véhiculé l’information en temps réel…
Nous sommes donc installés en haut de cet inhospitalier escalier. Il a fallu se frayer un passage entre les personnes installées sur les marches pour la pause-déjeuner. Les mandibules s’activent sur les sandwiches humides ficelés dans leur feuille plastique retroussée. Ce petit monde bruit et rit, et nos ipaginauteurs aussi…
Contrite, je me vois contrainte de les expédier plus bas, vaine tentative pour quêter un peu de calme.
Auteur publié dans La dernière vague
Je filme comme je peux. Il faut jongler avec les enfants qui passent, leur faire signe d’une main sans rien dire. Avec les enfants, ça va, ma main est à leur hauteur. Le pire, c’est avec les adultes qui passent devant nous sans vergogne. Pas un mot d’excuses ni un geste de regret. Ils pourraient passer derrière, mais non ! Ils passent au milieu les bougres, et j’ai une soudaine envie de crocher du pied. L’auguste envie de pisser vaut toutes les audaces. Tous ces gens ont mangé et vont uriner vaille que vaille sans penser à autre chose qu’à leur vessie. C’est ainsi que nous réalisons que l’escalier mène au restaurant et aux toilettes… Funeste choix. Les prostatiques pressés ont l’œil mauvais. Tiens, une idée passe. Un texte sur Dame pipi ?
Auteurs publiés dans La dernière vague
Après quelques séquences filmées, nous rejoignons le restaurant pour déjeuner. La faim commence à se faire sentir, impérieuse pour les plus gourmandes. Nous les filles, on ne fume pas, alors on a faim…
À gauche, vous pouvez découvrir Léo, un jeune homme passionné et tout entier consacré à nous, à une exception près qui se dessine sur l’image.
Qui trouvera l’indice caché ? Facile, trop facile, mais …
Au milieu, Laureline. Une éternelle bonne humeur, 15 ans de fraîcheur, elle pétille comme un bon Vouvray. Pourquoi 15 ans de fraîcheur ? Ah, questionnez là, moi, je ne dirai rien !
À droite, Jef, le chef ! La sagesse incarnée, son ongle ne me démentira pas, mais son esprit vif toujours en alerte est bien pensif. Vous dira-t-il ce qui agitait ses méninges à cet instant précis ?
Au premier plan, ma compagne, la dive bouteille marque ma place derrière l’objectif, souriez !
À gauche, Yoxigen a le même regard que Lisa, étrange, que peut bien mijoter notre grand méchant loup ?
Au milieu, Lisa arbore son « ipagination », signe de ralliement de la journée. Elle a le même regard que Yoxigen, un drame se trame…
À droite, Léo vous dit ce que tous ces yeux disent, les affres de se sentir épiés…
Au premier plan, vous ne voyez plus la bouteille. Vous ne me voyez pas non plus, je suis sous la table…
Un café, et c’est reparti ! Carine doit nous rejoindre, Jacques (mon chéri) aussi, et on a un point de rendez-vous à 15 heures.
Mais les chemins se croisent et s’entrecroisent, et nous devons voir Marie-Claude, notre amie Canadienne.
Minuit approche, j’ai promis des photos pour ce soir, diantre, il faut abréger ! Aussi, pour Carine qui n’est pas encore arrivée sur le salon mais qui va s’impatienter, une dernière, et la suite sera pour un jour prochain…
Je vous abandone avant que mon carrosse se transforme en citrouille, viiiite..
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