Merde, je vis…, par Philippe Ducourneau chez iPagination Editions
Fables d’un nouveau genre, les textes de ce recueil constituent un concept à part dont chaque séquence se compose de trois parties. Selon le ton employé, « Merde, je vis… » peut donc exprimer aussi bien l’admiration que la consternation, tout étant affaire « d’état d’âme ou d’esprit » et du regard porté sur la vie.