Un jour de solitude, lu par iPagina’Son…
De pleutres nuages s’en vont
Vers le couchant du désaveu,
Le vent a pleuré du basson,
Le ciel suit les rancunes, il pleut…
De pleutres nuages s’en vont
Vers le couchant du désaveu,
Le vent a pleuré du basson,
Le ciel suit les rancunes, il pleut…
Deux scènes tragiques à soixante-dix ans d’écart, deux situations nées de la même haine de l’autre et de la même intolérance, l’homme victime qui torture à son tour…
J’en ai assez de danser, je vais m’asseoir au bar. Je commande une tequila, en faisant au barman mon plus grand sourire. Regarde-moi. Plonge tes yeux dans les miens (…) Voilà, un regard appuyé, mon plus beau sourire, deux phrases accrocheuses et il est ferré.
Couché négligemment sur le bord d’un fossé,
Inspirant le mépris d’un monde caboteur,
Un vieux caddie rouillé de ses roues défaussé,
Dans sa longue agonie pleurait sur son malheur.
Quand la fusion entre le peintre et la toile devient charnelle, l’aventure amoureuse se compare à l’acte d’amour et l’attente délicieuse de la caresse du pinceau sur la toile se décline ici avec une grande sensualité…